ordre infirmiere

bonsoir,
pourriez vous me dire si s’inscrire a l’ordre infirmer est une obligation ou pas.quels sont les avantages et les inconveniants ?
merci

7 réflexions sur « ordre infirmiere »

  1. Si on en croit les textes et conformément aux articles L.4112-3 à L 412-6 du code la santé publique, »tout infirmier qui exercerait sans être inscrit au tableau de l’Ordre s’exposerait à des poursuites pour exercice illégal ainsi que son éventuel employeur ».
    Moi, je dis ça, je dis rien…
    Bonne soirée.

  2. Si on en croit les textes et conformément aux articles L.4112-3 à L 412-6 du code la santé publique,\ »tout infirmier qui exercerait sans être inscrit au tableau de l\’Ordre s\’exposerait à des poursuites pour exercice illégal ainsi que son éventuel employeur\ ».
    Moi, je dis ça, je dis rien…
    Bonne soirée.

  3. s’inscrire est obligatoire comme le dit l’article cité par Emmaface, cotiser ….c’estautre chose
    je dis ça et je dis rien aussi !!!!lol

  4. Bonjour
    Je dirais comme EMMAFACE. Sinon il est intéressant de faire des recherches internet afin d’avoir des renseignements actualisés sur le sujet.
    Bonne soirée

  5. L’inscription à lordre est une nécessité pour exercer en libéral. Mon installation date de moins de 6 mois et je crois me souvenir que l’avis d’inscription ou du moins le récépissé de traitement de l’inscription était nécessaire pour boucler mon dossier auprès de la cpam de mon département. (En effet les commissions d’inscription ne se font que tous les trimestres je crois donc en attendant l’avis officiel, c’est un récépissé qui fait foie de la démarche).

  6. moi la caisse m’a demandé de m’inscrire à l’ordre quelques temps après le renflouement des caisses par l’Etat… je me suis inscris j’ai payé au moins une fois je crois me souvenir.
    je dis çà je dis rien

  7. Voilà ce que j’ai lu de ce matin

    MAI 2014 MARISOL TOURAINE DECLARE QUE L’AVENIR DE
    L’ORDRE INFIRMIER EST « CLAIREMENT MENACE »
    À l’occasion de la séance de questions au Gouvernement à
    l’Assemblée nationale ce 13 mai, la ministre des Affaires sociales
    et de la Santé, Marisol Touraine, a été interpellée par le député
    UMP du Haut-Rhin Jean-Luc Reitzer sur sa position concernant
    l’obligation d’adhésion à l’Ordre infirmier. Cette question
    intervient dans un contexte où, informé de la non-adhésion d’une
    soixantaine d’infirmiers à l’Ordre, le Parquet de Mulhouse mène
    actuellement une enquête et des infirmières se trouvent
    convoquées en gendarmerie et sommées de se conformer à la
    loi (lire ci-contre). « Certaines ont été traitées comme de véritables
    criminelles, avec prises de photos et prises d’empreintes
    digitales », s’est ému le député. « Je vous laisse imaginer l’état
    psychologique de ces infirmières, dont chacun reconnaît ici la
    difficulté du travail et le dévouement exemplaire », a-t-il appuyé.
    « Vous avez (…) affirmé à plusieurs reprises que l’adhésion à
    l’Ordre des infirmiers devait être facultative. Pourriez-vous
    aujourd’hui clarifier votre position ? », a-t-il demandé à la
    ministre.
    Après avoir rendu hommage au travail quotidien « remarquable »
    des quelque 550 000 infirmier(e)s en France, Marisol Touraine a
    ironisé en premier lieu sur la préoccupation du député UMP : « Je
    me réjouis de vos propos car s’il y a aujourd’hui un Ordre
    infirmier, c’est parce que votre majorité a souhaité en 2006
    l’installer et l’instaurer ». « La situation que vivent aujourd’hui les
    infirmiers au regard de l’Ordre infirmier n’est évidemment pas
    satisfaisante », a-t-elle déclaré. Appuyant qu’une « écrasante
    majorité » d’infirmiers était opposée depuis le départ à cet Ordre,
    la ministre a poursuivi : « Je le dis très sincèrement et très
    fermement, l’Ordre des infirmiers est un Ordre contesté, un
    Ordre sans légitimité, et donc un Ordre dont l’avenir est
    clairement menacé ». Elle a salué les travaux – menés depuis
    plusieurs mois mais dont les conclusions tardent à être rendues
    publiques – du groupe de travail Socialiste, radical et citoyen
    (SRC) à l’Assemblée, chargé de réfléchir au devenir de l’Ordre et
    placé sous la responsabilité de la députée des Côte d’Armor Annie
    Le Houérou (lire ci-contre). Ces parlementaires « travaillent à
    l’évolution de la loi et vont proposer de façon très rapide
    désormais des dispositions », a assuré la ministre. « Cet Ordre est contesté et [sa] grande caractéristique (…) est qu’une grande
    majorité, 85% des infirmiers travaillent en établissements. La
    mise en place d’un Ordre avec adhésion obligatoire ne correspond
    donc pas à la situation que vivent les infirmiers et cette situation
    évoluera », a conclu Marisol Touraine.
    Source HOSPIMEDIA

    MAI 2014 MARISOL TOURAINE DECLARE QUE L’AVENIR DE
    L’ORDRE INFIRMIER EST « CLAIREMENT MENACE »
    À l’occasion de la séance de questions au Gouvernement à
    l’Assemblée nationale ce 13 mai, la ministre des Affaires sociales
    et de la Santé, Marisol Touraine, a été interpellée par le député
    UMP du Haut-Rhin Jean-Luc Reitzer sur sa position concernant
    l’obligation d’adhésion à l’Ordre infirmier. Cette question
    intervient dans un contexte où, informé de la non-adhésion d’une
    soixantaine d’infirmiers à l’Ordre, le Parquet de Mulhouse mène
    actuellement une enquête et des infirmières se trouvent
    convoquées en gendarmerie et sommées de se conformer à la
    loi (lire ci-contre). « Certaines ont été traitées comme de véritables
    criminelles, avec prises de photos et prises d’empreintes
    digitales », s’est ému le député. « Je vous laisse imaginer l’état
    psychologique de ces infirmières, dont chacun reconnaît ici la
    difficulté du travail et le dévouement exemplaire », a-t-il appuyé.
    « Vous avez (…) affirmé à plusieurs reprises que l’adhésion à
    l’Ordre des infirmiers devait être facultative. Pourriez-vous
    aujourd’hui clarifier votre position ? », a-t-il demandé à la
    ministre.
    Après avoir rendu hommage au travail quotidien « remarquable »
    des quelque 550 000 infirmier(e)s en France, Marisol Touraine a
    ironisé en premier lieu sur la préoccupation du député UMP : « Je
    me réjouis de vos propos car s’il y a aujourd’hui un Ordre
    infirmier, c’est parce que votre majorité a souhaité en 2006
    l’installer et l’instaurer ». « La situation que vivent aujourd’hui les
    infirmiers au regard de l’Ordre infirmier n’est évidemment pas
    satisfaisante », a-t-elle déclaré. Appuyant qu’une « écrasante
    majorité » d’infirmiers était opposée depuis le départ à cet Ordre,
    la ministre a poursuivi : « Je le dis très sincèrement et très
    fermement, l’Ordre des infirmiers est un Ordre contesté, un
    Ordre sans légitimité, et donc un Ordre dont l’avenir est
    clairement menacé ». Elle a salué les travaux – menés depuis
    plusieurs mois mais dont les conclusions tardent à être rendues
    publiques – du groupe de travail Socialiste, radical et citoyen
    (SRC) à l’Assemblée, chargé de réfléchir au devenir de l’Ordre et
    placé sous la responsabilité de la députée des Côte d’Armor Annie
    Le Houérou (lire ci-contre). Ces parlementaires « travaillent à
    l’évolution de la loi et vont proposer de façon très rapide
    désormais des dispositions », a assuré la ministre. « Cet Ordre est contesté et [sa] grande caractéristique (…) est qu’une grande
    majorité, 85% des infirmiers travaillent en établissements. La
    mise en place d’un Ordre avec adhésion obligatoire ne correspond
    donc pas à la situation que vivent les infirmiers et cette situation
    évoluera », a conclu Marisol Touraine.
    Source HOSPIMEDIA

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